http://www.binche.be/documents/conseilordres/ordredujourdu020507.pdf
http://www.binche.be/cgi-bin/convertpdf.pl?f=conseilordres/ordredujourdu020507.pdf
--Message édité par le 27-04-07 à 12:49:10--
http://www.binche.be/cgi-bin/convertpdf.pl?f=conseilordres/ordredujourdu020507.pdf
--Message édité par le 27-04-07 à 12:49:10--
Administrateur de Forum-Binche.
Dans la DH du 04/05/2007:
http://www.dhnet.be/dhjournal/archives_det.phtml?id=713621
http://www.dhnet.be/dhjournal/archives_det.phtml?id=713621
BINCHE Assis dans les rangs de l'opposition, André Navez a rappelé que trois moments forts ponctuent une législature. "La déclaration de politique générale ainsi que les deux plans triennaux." L'ancien mayeur n'a pas hésité de décrire le programme triennal 2007-2009 de "catalogue de bonnes intentions." "Il y a 80 % de projets que nous proposions déjà. Pour le reste, nous n'y retrouvons pas les dossiers prioritaires. Des citoyens sont régulièrement inondés mais vous faites fi de ces personnes", explique le porte-parole de l'opposition Union.
De son côté, le bourgmestre a expliqué comment la majorité a voulu mettre toutes les chances de son côté. "Nous sommes allés voir le Met, la Région pour aller trouver le financement nécessaire pour réaliser ces travaux", note Laurent Devin en ajoutant que "même si c'est pour réaliser juste un mètre, ce sera plus que vous pendant six ans." Dans ce programme qui a reçu l'abstention de l'opposition, on retrouve notamment la rue Saint-Paul à Binche, la rue de Cent Pieds à Buvrinnes, un tronçon de l'avenue Léopold III à Péronnes, la rue des Boulois et des Moulins à Leval ou encore la rue Ma Campagne à Waudrez.
Lors de ce conseil communal, l'échevin Jean-Pierre Jaumot a proposé, en urgence, l'acquisition d'isoloirs à l'approche des élections législatives. "Ne peut-on pas demander au service des travaux d'en fabriquer ?", s'est interrogée l'opposition Union. Cette question, selon le mayeur, a été étudiée par le collège communal qui a finalement jugé cette fabrication artisanale comme impossible. "Dès le 11 juin au soir, ces isoloirs seront mis à sec dans un endroit fermé.
S. P.
De son côté, le bourgmestre a expliqué comment la majorité a voulu mettre toutes les chances de son côté. "Nous sommes allés voir le Met, la Région pour aller trouver le financement nécessaire pour réaliser ces travaux", note Laurent Devin en ajoutant que "même si c'est pour réaliser juste un mètre, ce sera plus que vous pendant six ans." Dans ce programme qui a reçu l'abstention de l'opposition, on retrouve notamment la rue Saint-Paul à Binche, la rue de Cent Pieds à Buvrinnes, un tronçon de l'avenue Léopold III à Péronnes, la rue des Boulois et des Moulins à Leval ou encore la rue Ma Campagne à Waudrez.
Lors de ce conseil communal, l'échevin Jean-Pierre Jaumot a proposé, en urgence, l'acquisition d'isoloirs à l'approche des élections législatives. "Ne peut-on pas demander au service des travaux d'en fabriquer ?", s'est interrogée l'opposition Union. Cette question, selon le mayeur, a été étudiée par le collège communal qui a finalement jugé cette fabrication artisanale comme impossible. "Dès le 11 juin au soir, ces isoloirs seront mis à sec dans un endroit fermé.
S. P.
Administrateur de Forum-Binche.
Dans la DH du 04/05/2007:
http://www.dhnet.be/dhjournal/archives_det.phtml?id=713377
http://www.dhnet.be/dhjournal/archives_det.phtml?id=713377
Les nouvelles mesures sur les chiens dangereux pour Binche ont été adoptées à l'unanimité par le conseil communal
BINCHE La problématique des chiens dangereux figurait, ce mercredi soir, sur la table des débats du conseil communal de Binche.
Tout comme dans les communes de la Haute Senne ainsi que Morlanwelz, un recensement des chiens potentiellement dangereux - ainsi que leur croisement - sera établi avant le 1er juillet (DH du 26/04). Le non-respect de cette obligation coûtera cher au propriétaire : 250 euros. La zone de police de Binche et Anderlues va encore plus loin. "Dans un souci de prévention, un agent de police se rendra au domicile du déclarant pour évaluer les conditions de détention de l'animal et signaler les dispositions à prendre pour éviter le moindre accident", a expliqué Laurent Devin, bourgmestre de Binche.
Bien sûr, ces nouvelles dispositions ne doivent pas faire oublier la stricte application du règlement général de police actuel pour la zone de Binche-Anderlues. Celui-ci prévoit, notamment, que tous les chiens soient tenus en laisse, l'interdiction de dressage d'un animal sur la voie publique ou encore que les chiens "dangereux" portent une muselière.
Spécialistes des croisements
Majorité comme opposition ont souligné l'importance de garantir la sécurité publique. Mais pour Jacques Devigne, d'autres mesures peuvent venir s'ajouter. "Il faut encore aller plus loin. Pourquoi ne pas rétablir une taxe sur les chiens dangereux ?", s'interroge le conseiller communal Union. Une mesure discriminatoire selon l'échevin Jaumot : "On n'autorise pas quelque chose parce qu'on paie. Ce genre de taxe n'est pas jouable dans le cas d'un danger. Par contre, on peut le supprimer par un règlement"
Pour le mayeur de Binche, ces mesures vont déjà loin. "Nous sommes allés le plus loin que l'on pouvait sans craindre de se faire casser." Entrant dans le débat, André Navez a confié sa crainte par rapport au recensement des chiens croisés. "N'est-ce pas subjectif : comment et qui va reconnaître le croisement d'un dogue Argentin et d'un dogue de Bordeaux ?" Dans ces cas précis, la police fera appel aux services d'un vétérinaire spécialisé.
En reprenant le micro, le conseiller Jacques Devigne s'est engagé en terrain... miné. "D'un point de vue propreté, un ramasse crotte devrait être obligatoirement attaché à la laisse. C'est la seule façon de constater !"
Devant cette proposition qui a détendu l'assemblée, le bourgmestre a rappelé que le règlement de police imposait aux maîtres de ramasser les cadeaux de leur animal de compagnie.
S. P.
En plus du recensement de chiens potentiellement dangereux, les maîtres recevront la visite d'un agent de police. (shutterstock)
BINCHE La problématique des chiens dangereux figurait, ce mercredi soir, sur la table des débats du conseil communal de Binche.
Tout comme dans les communes de la Haute Senne ainsi que Morlanwelz, un recensement des chiens potentiellement dangereux - ainsi que leur croisement - sera établi avant le 1er juillet (DH du 26/04). Le non-respect de cette obligation coûtera cher au propriétaire : 250 euros. La zone de police de Binche et Anderlues va encore plus loin. "Dans un souci de prévention, un agent de police se rendra au domicile du déclarant pour évaluer les conditions de détention de l'animal et signaler les dispositions à prendre pour éviter le moindre accident", a expliqué Laurent Devin, bourgmestre de Binche.
Bien sûr, ces nouvelles dispositions ne doivent pas faire oublier la stricte application du règlement général de police actuel pour la zone de Binche-Anderlues. Celui-ci prévoit, notamment, que tous les chiens soient tenus en laisse, l'interdiction de dressage d'un animal sur la voie publique ou encore que les chiens "dangereux" portent une muselière.
Spécialistes des croisements
Majorité comme opposition ont souligné l'importance de garantir la sécurité publique. Mais pour Jacques Devigne, d'autres mesures peuvent venir s'ajouter. "Il faut encore aller plus loin. Pourquoi ne pas rétablir une taxe sur les chiens dangereux ?", s'interroge le conseiller communal Union. Une mesure discriminatoire selon l'échevin Jaumot : "On n'autorise pas quelque chose parce qu'on paie. Ce genre de taxe n'est pas jouable dans le cas d'un danger. Par contre, on peut le supprimer par un règlement"
Pour le mayeur de Binche, ces mesures vont déjà loin. "Nous sommes allés le plus loin que l'on pouvait sans craindre de se faire casser." Entrant dans le débat, André Navez a confié sa crainte par rapport au recensement des chiens croisés. "N'est-ce pas subjectif : comment et qui va reconnaître le croisement d'un dogue Argentin et d'un dogue de Bordeaux ?" Dans ces cas précis, la police fera appel aux services d'un vétérinaire spécialisé.
En reprenant le micro, le conseiller Jacques Devigne s'est engagé en terrain... miné. "D'un point de vue propreté, un ramasse crotte devrait être obligatoirement attaché à la laisse. C'est la seule façon de constater !"
Devant cette proposition qui a détendu l'assemblée, le bourgmestre a rappelé que le règlement de police imposait aux maîtres de ramasser les cadeaux de leur animal de compagnie.
S. P.
En plus du recensement de chiens potentiellement dangereux, les maîtres recevront la visite d'un agent de police. (shutterstock)
Administrateur de Forum-Binche.